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Avant
l'arrivée des Blancs, les Khoisans nomades du Cap chassaient pour
se nourrir, tandis que, à l'Est, certaines tribus bantous échangeaient
l'ivoire et organisaient des chasses cérémonielles, mais
leurs lances et leurs pièges avaient peu d'impact sur la faune.
Au XVIIème siècle, elle paraissait inépuisable comparée
à celle de l'Europe. Quelques 200 ans plus tard, les armes à
feu des colons avaient mis de nombreuses espèces en danger de disparition.
Les mesures de protection prises à temps permettent aujourd'hui
à l'Afrique du Sud de posséder certaines des plus riches
réserves naturelles du monde. La faune de l'Afrique du Sud constitue
par sa richesse l'une des principales attractions touristiques du pays.
PARC KRUGER : cette 1ère réserve naturelle d'Afrique fut foulé pour la première fois en 1837 par les Voortrekkers, nom donné aux pionniers boers ayant participé à la grande migration. Les espaces et la faune sont protégés depuis 1898, et constituent l'une des plus grandes réserves naturelles du continent avec 20 000 km2, 350 km dans sa plus grande longueur (frontalière avec le Mozambique), 90 km au plus large, et plus de 2 500 km de routes et de pistes. La taille du parc représente la superficie de la Corse ou de la Suisse. La faune y est très riche. On y dénombre 507 variétés d'oiseaux et plus de 110 reptiles ainsi que 147 espèces de mammifères, dont la totalité des Big Five : éléphant, lion, léopard, rhinocéros et bufle. Mais ce n'est pas un zoo ! Les animaux y vivent en toute liberté et n'attendent pas que les ayez photographiés pour disparaître dans un sous-bois. L'immensité même du parc est pour eux le meilleur des refuges. La nature conserve son caractère sauvage (300 variétés d'arbres), malgré les dizaines de milliers de visiteurs qui viennent chaque année. Vous n'aurez jamais l'impression de partager vos sensations avec la foule des voitures, minibus et autocars. Mais tous les "rangers" diront qu'un safari réussi y est avant tout une question de chance, de patience et d'attention. Au sein de cette immensité, la partie Sud du parc est la plus réputée et de loin la plus fréquentée. |
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Zèbre - Impala - Gnou - Phacochère
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Zèbre de Burchell : il a un pelage
chamois avec de larges raies noires, alternant avec des raies sombres
et diffusent. Les zèbres vivent en groupes familiaux, qui peuvent,
à l'occasion, se réunir pour former des troupeaux plus importants
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Zèbre
de Burchell
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Impala (Aepyceros melampus) : C'est
une espèce de mammifère faisant partie de lordre des
artiodactyles et plus précisément de la famille des bovidés.
Six sous-espèces sont reconnues, mais elles vivent dans des habitats
différents. Cette espèce est la seule du genre Aepyceros.
Il est des antilopes les plus rapides et les plus élégants.
Il se reconnaît à la bande noire qui descend le long de la
cuisse. Il faut aussi mentionner leurs lignes noires uniques à
chaque individu au bout des oreilles, sur le dos de la queue, le haut
des cuisses et sur le front. Ces lignes noires sont très utiles
aux impalas puisque ce sont des signes qui leur permettent de se reconnaître
entre eux. Le mâle est le seul à avoir des cornes, et dispose
d'un harem de 15 à 50 femelles. Les mâles jeunes et vieux
forment des troupes de célibataires. Il évolue dans les
savanes boisées et forêts-galeries
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Savane
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Troupeau
femelles Impalas
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Mâle
Impala
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Mâle
Impala
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Femelle
Grand Koudou
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Gnou : il est de la taille d'une vache.
Au pelage rayé
de gris et de noir, avec une crinière et une queue longue et hirsute.
Les troupeaux sont formés le plus souvent d'une douzaine de femelles
et le leurs petits, qui se réunissent en bande comptant des centaines
d'individus pour chercher de nouveaux pâturages
Phacochère : il a une tête énorme, avec 2 paires de défenses recourbées et une longue crinière sur le dos. Il se nourrit d'herbes, de feuilles, de fruits et déterre les racines et les tubercules, surtout si l'eau est rare. Il se déplace la queue dressée et vit dans les savanes |
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Gnous
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Phacochères
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